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il y a 5 ans
Ma première expérience hardcore m’avait fait passer sans transition du sexe conjugal conventionnel de la petite épouse dévouée, à la pluralité la plus extrême, me livrant à une dizaine d’inconnus en nocapote pour un gangbang insémination... J’aurais pu me briser les ailes à jamais et notre couple avec. Pourtant, ce fut tout le contraire : L’envie de recommencer, d’abord : La serviette hygiénique que j’avais glissée dans mon string absorbait encore les coulures de foutre qu’il était déjà évident que je renouvellerai l’expérience : J’avoue m’être godée moins de 24 heures après à cette idée, bien lubrifiée par ma mouille et le sperme résiduel. Et pourtant, dieu sait que j’avais la chatte en feu !
Pour ce qui est de notre couple ensuite, mon mari me voue un culte sans borne depuis... Il m’a vu tellement assurer et prendre mon pied qu’il n’a qu’une envie : Que sa femme assouvisse son désir de se faire à nouveau remplir et qu’elle soit l’objet des convoitises de tant de mâles.
L’idée que je me fasse à nouveau inséminer à la chaîne coulait donc de source (!).
Après avoir enfin réussi à nettoyer de fond en comble mes orifices (Merci les garçons !!!), je souhaitais donc renouveler l'expérience de la pluralité masculine avec une expérience plus vicieuse encore que la précédente.
Ma chatte ayant dégusté toute une variété de spermes, elle avait un appétit encore plus grand qu'auparavant....!
Quant à mon mari, le succès de mon baptême l’avait conforté dans l’idée de passer à un niveau de perversion et de candaulisme encore plus important.
Cette fois-ci, plus sûre de moi que jamais et en position de force après ce premier succès, c’est à moi seule que revenait la tâche de planifier le scénario et organiser les hostilités. Cette fois-ci, j’avais carte blanche et il était convenu avec mon mari qu’il n’aurait pas son mot à dire sur le déroulé de mon abattage.
J’avais aussi acquis plus d’assurance, me permettant d’être plus directive envers mes inséminateurs.
Ma recherche fut cette fois-ci axée sur 5 belles queues, non circoncises de préférence, avec des bourses bien pleines, et capables de décharger à plusieurs reprises une semence abondante, dense et tenace, de sorte que les parois de mon vagin soient durablement crépies.
Si il n'y avait pas de critère d'âge ou d'origine, ma préférence était néanmoins accordée aux étalons plutôt entretenus, mais pas obligatoirement bodybuildés pour autant... Je souhaitais encore une fois me faire débourrer par de parfaits inconnus, ce pourquoi je ne souhaitais pas convier des participants de mon premier gangbang.
Finalement, après des échanges virtuels, j’ai arrêté mon choix sur un groupe constitué : Une bande de 5 copains sportifs, fêtards, queutards à l’occasion, âgés de 28 à 30 ans.
La trame était la suivante :
J’accueillerai les participants avec mon mari avant que celui-ci ne soit contraint d’être menotté aux poignets et aux chevilles, nu et immobilisé sur une chaise devant mon arène : Un grand matelas disposé au centre de la pièce, à même le sol. Les hommes me passeraient ainsi dessus, devant mon époux, sans possibilité pour ce dernier d’intervenir ou même de pouvoir se branler.
L'objectif était pour moi de livrer mon corps et mes pulsions aux vices et fantasmes de quelques inconnus, sans que mon époux puisse interférer physiquement dans ce que j’allais subir. Je voulais que sa femme se sente libre d'assumer son appétit pour les bites et le sperme. En revanche, mon but inavoué était qu’en lui infligeant un tel supplice, il juge mon comportement nymphomane en se manifestant d’une manière ou d’une autre...
Quant à mon mari, si il consentait à me confier sans réserves, c'est qu'il connaissait à présent sans ambiguïté mon désir non négociable de me faire de temps à autre défoncer par des amants et préférait que cela soit organisé de cette façon plutôt qu'en secret derrière son dos... Il espèrerait en contre-partie retrouver immédiatement après, ma chatte bien plus dilatée, profondément souillée et défoncée, et mes muqueuses buccales, labiales et vaginales usées par la perversion de mes amants. Pour en avoir discuté avec lui et même si de son propre aveu c’était une chance pour lui d’avoir une femme comme moi, il entretenait aussi le vain espoir de voir mon appétit rassasié afin que je ne me fasse plus sauter de la sorte...
A l’approche du jour fatidique, la nervosité était cette fois-ci davantage du côté de mon mari. D’autant que je ne l’avais pas mis dans la confidence de l’organisation et des modalités du scénario.
J’avais souhaité organiser le plan un dimanche matin, en convoquant le groupe à 10 heures précises. Et si mon époux savait que quelque chose se déroulerait tôt ou tard, je pris un plaisir pervers à ne l’informer de la réalité du plan qu’au moment où mes amants sonnèrent à l’interphone ! Je ne voulais pas risquer d’être influencée par quelque suggestion de sa part quant à l’écriture de mon scénario. Aussi, le mettre devant le fait accompli ne lui permettrait pas d’émettre une objection sur ce que j’avais décidé...
Me pensant dans la salle de bain pour me doucher et m’habiller pour la journée, c’est intégralement et fraîchement épilée et uniquement agrémentée d’un string ficelle et de talons aux pieds qu’il me vit ressortir pour répondre à l’interphone.
Vous auriez vu sa tête lorsqu’il comprît que son dimanche commencerait de cette façon...!
Nous avons tous deux accueilli les participants sur le pas de la porte. Ils étaient bien plus grands et costauds que ce que j’avais pu imaginer avec nos échanges de mails et de photos. Mon mari avait une mine déconfite !
J’ai vérifié les tests biologiques confrontés aux cartes d’identité de chacun et pendant que nous attendions les résultats des auto-tests, nous nous installâmes tous les 7 autour d’une table basse. Autour de moi topless, ils étaient tous habillés. Si le groupe avait pour sa part déjà été mis dans la confidence dans les moindres détails, il fallut expliquer à mon mari la trame de ce que j’avais imaginé. Pas chose facile, lorsque 5 paires de yeux reluquent vos tétons tout durs ou votre entre-jambe suintante. Pour finir, je précisais que les seuls orifices à disposition ce dimanche matin étaient ma bouche et ma chatte baveuse (J’insistais sur le fait que mon anus ayant été précédemment malmené, il était formellement défendu à tout pénis de s’en approcher) tandis qu’aucune éjaculation ne devait se faire en dehors de mon vagin. N’en menant pas large, mon époux ne fit aucune remarque. J’avoue avoir craint à cet instant qu’il prenne ses jambes à son coup.
Dès lors, nous décidions de nous diriger vers « la salle des fêtes », que nous aménagions de sorte qu’elle ne comporte qu’une chaise et le matelas disposé au sol.
Tous se déshabillèrent et mon mari, nu également, fut installé et menotté, son pénis déjà en érection. Je pris cela pour un acquiescement.
J’avais poussé le vice en prévoyant une corde pour le ligoter. Comme imaginé, il lui était à présent impossible de quitter cette chaise ou de bouger. Par contre, pas de bâillon ni de bandeau devant les yeux...
J’étais à partir de ce moment précis, toute acquise à mes gangbangueurs qui immédiatement et sans se faire prier, se mirent à caresser tour à tour mon ferme 90C et mes cuisses, et même claquer mes fesses nues devant les yeux interloqués de mon mari. Je sentais déjà le ballet fort agréable des grosses queues dressées tout autour de moi avec leurs glands effleurant ma peau moite et brûlante.
Les hommes m'ôtèrent alors string et talons, m’allongèrent sur le ventre de sorte que je puisse regarder mon mari, et débutèrent un massage intégral du cuir chevelu à l'extrémité de mes orteils.
Je pus sentir alors les 10 mains malaxer mon corps. Se calquant parfaitement au scénario, ils insistèrent sur mes pieds, mon "pêcher mignon", par des massages appuyés, des baisers et une succion de chacun de mes 10 orteils...
Mon mari avait les yeux complètement exorbités, commençait à transpirer et bougeait sa queue en la contractant... Son gland était de plus en plus turgescent.
Retournée sur le dos, ils me disposèrent de façon à ce que cuisses écartées, ma vulve transpirante soit exposée à mon mari. Je perdis par conséquent son regard.
Ma bouche et mon cou commencèrent à être inondés par leurs lèvres.
Les premières queues se frottèrent à mon corps et mon visage. Je ne pouvais me retenir d’entrouvrir mes lèvres et de sortir ma langue... Quel plaisir c’était de sentir et de goûter à nouveau d’autres queues ! Si variées et différentes soient-elles, elles sont décidément toutes à mon goût...
Les choses commençaient à s’intensifier et je recevais bientôt bifles et autres coups de bites fermement et sèchement exécutés sur mon corps. Par contre aucune pénétration n’était permise à ce stade...
Puis les sexes bandés inlassablement tapotés et fouettés sur mon clitoris et mes petites lèvres constatèrent le déversement d'une mouille abondante et visqueuse à l'entrée de ma chatte.
Étant en pleine période d’ovulation, je commençais à devenir très très excitée et pour que mon mari croise mes yeux, je demandais à ces messieurs de bien vouloir me redresser, afin que je sois mise accroupie, mes petites lèvres trempées et mon sphincter anal impeccablement épilés offerts à tour de rôle aux visages des participants engouffrés entre mes pieds afin d'y recevoir cunilingus et anulingus délicatement exécutés.
Les diverses langues effectuaient chacune leur tour de multiples allées et venues entre mon clitoris et mon anus. J'accueillais avec plaisir les initiatives buccales à l'entrée de mes orifices : pénétration de langues dans ma bouche, mon anus et mon vagin, succions appuyées de mon clitoris turgescent... Pendant ce temps, on s’abouchait aussi à mes mamelles siliconées afin d’aspirer et mordiller mes tétons protubérants. L’excitation provoquait un dégât des eaux dans ma chatte. Ce breuvage finissait dans la gorge de mes cunilingueurs du jour, qui ne semblaient pas vouloir en perdre une goutte.
Alors que je poussais mes premiers gémissements, mon mari prononça les premières insultes à mon égard : « Espèce de chienne... Petite salope... Voilà comment tu te fais lécher, grosse pute... ». Je répondis par l’affirmative en formulant des demandes de plus en plus insistantes à me faire pénétrer par leurs langues. Le corps de mon mari se raidissait de plus en plus et du liquide séminal commençait à s’évacuer de son urètre. Je soutenais avec insolence le regard méprisant de mon mari. Mes yeux devaient sacrément sentir le cul... C’est alors que je le vis se contracter irrémédiablement et hurler de douleur qu’il allait jouir. Ni une ni deux, je me levai soudainement, m’arrachant à toutes ces bouches ventousées à moi, et m’empalai littéralement sur toute la hauteur de sa queue violacée : Ce matin-là, il était hors de question que je gâche une seule goutte de sperme.
Dans un cri de souffrance absolue, il catapulta son éjaculat avec une violence rare dans le fond de mon vagin. J’eus le temps de faire un ou deux aller-retours afin de l’essorer complètement, avant que le groupe ne nous désaccouple.
Le plus dur commençait à présent pour mon mari : Sorti de tout état d’excitation, il devrait à partir de cet instant subir la vision des assauts dont j’allais être la victime... un supplice extrême !
Je fus disposée sans ménagement au centre du lit, les participants m'entourant. Ce fut là, je crois me souvenir, le point de départ des pénétrations incessantes. Je consentais littéralement à me faire défoncer la chatte par mes 5 amants. Mon mari, pourtant véhément et prompt à manifester sa désapprobation, était loin de mes pensées...
Je fus simultanément prise sans capote dans la bouche et le vagin en tenant fermement une bite dans chaque main.
On se baignait littéralement dans ma petite chatte de nymphette. J’accueillais sans sourciller les doubles vaginales. Je faisais aussi l’objet de caresses et de doigtages timides du sphincter anal.
Comme prévu, ma chatte avide était seule réceptrice de leurs décharges : Lorsqu’ils sentaient monter l'éjaculat, ils se désinséraient et déversaient leur sperme à même mes petites lèvres. Puis en bons gentlemen, ils raclaient délicatement et consciencieusement de leur gland cette semence coulante afin de l'administrer d'un coup brutal à mon vagin pour que celui-ci s'en délecte sans en perde une goutte.
Les giclées des uns servant de lubrifiant aux autres, le participant suivant pouvait ensuite disposer de ce vagin souillé, et ainsi de suite... Je n'utilisais pour lubrifiants que ma mouille, leur salive et leur sperme, n'ayant nul besoin de produits artificiels.
Rapidement, les sexes souillés à rebander furent accueillis par ma bouche et le creux de mes mains, afin de multiplier les pénétrations et décharges éjaculantes. Je dois avouer que j’aime sentir les queues mollassonnes reprendre vie sous l'effet de mes doigts et mes coups de langue. Mes pieds et mes orteils enveloppants furent également utilisés à cet effet.
« J’aime ça ! Qu’est-ce que j’aime ça !!!! Encore, encore, ENCOOOOOORE !!!! » : Mon mari subissait mes gémissements, mes demandes indécentes et le son des bourses entrechoquant ma peau, sans la possibilité pour lui d'intervenir dans nos jeux. Je suis allée jusqu’à lui crier mon plaisir infini de me faire défoncer la chatte par 5 belles bites bien vigoureuses... : « Regarde ce qu’il me faut ! Regarde comme ils me baisent ! Là, je sens quelque chose ! Oh oooooouuuuuiiiii....!!! ENCOOOOOOORE !!!!! ».
Quant à lui, le zizi tout mou, le regard noir... c’est peu dire qu’il ne goûtait pas la plaisanterie ! Mais j’étais sadique et j’aimais ça.
Alors que la fin du remplissage semblait se profiler, mes amants prirent l’initiative de me mettre à genoux, tête contre le matelas, fesses pointées vers le haut, afin d’exposer ma vulve dégueulasse à mon cocu. Un des hommes était assis sur ma tête, de sorte que je ne puisse pas me relever. Un autre était à califourchon sur moi, face à mon mari, et tirait délicatement sur mes petites lèvres pour les écarter. Il me semble que 2 autres claquaient allègrement chacune de mes fesses en me traitant de salope. Je dandinais scandaleusement afin de les encourager, et dans le but aussi de narguer mon mari, en cette fin de plan. Il faut dire que j’étais bien pleine !
C’est alors que le 5ème homme dirigea son gland au seuil de ma chatte baveuse afin de prélever un peu de trop-plein, et remonta ensuite sur ma rondelle. Comprenant qu’on souhaitait me sodomiser, je me mis à protester verbalement. Sentant que le chibre en question n’était vraisemblablement pas décidé à détourner son chemin, et que l’entrée de mon trou de balle commençait à être forcée, je me mis à me débattre vivement.
Mon mari émit du bout des lèvres une désapprobation bien timide, au regard de ce qui devenait pourtant un viol caractérisé ! À ce moment-là, alors que je contractais au maximum mon sphincter pour m’opposer, mon sodomisateur réussit à l’entrouvrir. Mon sphincter anal était en tétanie. La pression de ce gland d’acier étant trop forte, je ne pus résister longtemps. Obligée de lâcher prise, c’est ainsi qu’il s’introduisit d’un coup sec jusqu’à la garde. Les 4 autres autour de moi me contentionèrent fermement, ce qui couplé à la douleur du déchirement rectal, tua dans l’œuf toutes velléités de révolte et de contestation de ma part.
On était en train de me violer l’anus devant mon mari impuissant ! Mes cris étouffés ne semblaient pourtant pas le faire réagir. Alors que je les laissais finalement me limer l’anus à la chaîne, je pus petit à petit retrouver un peu plus d’aisance... Suffisamment même à un moment pour tourner ma tête dans l’espoir de croiser le regard de mon époux dans le but de l’implorer. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque j’observai que son sexe était en fait de nouveau dressé comme un i : Le cochon s’était en réalité délecté du viol anal de sa femme !
Ils me défoncèrent allègrement l’anus comme ils l’avaient fait pour ma petite chatte de nymphe et vidèrent leurs bourses dans le bas-fond de mon rectum. J’avais le trou du cul en feu...
Le rapport de forces avait soudainement changé, et moi comme mon mari étions désormais à la merci de ces gros cochons hors de contrôle. Un mélange d’excitation et d’anxiété s’emparait de moi, ne sachant pas quelles seraient leurs limites dans le vice et la luxure.
Lorsqu’ils eurent enfin terminé d’abuser de mon anus, certainement emprunts d’une sorte de solidarité masculine perverse, deux des violeurs m’épaulèrent, me soulevèrent et abouchèrent mon trou du cul endolori à la queue dressée de mon mari qui n’attendait que cela. Étant quant à moi incapable de donner le change, je me laissais porter passivement par ces messieurs, qui à la force de leurs bras, effectuaient eux-mêmes les mouvements de va-et-vient.
Dans un état de semi-éveil, subissant cette ultime sodomie au milieu des insultes proférées à mon encontre, je sentais et j’entendais (!) mon vagin dégorger : La vidange avait vraisemblablement débuté, et pas qu’un peu !
Chose bienfaisante puisque le sperme gluant se trouvait agir exactement comme un baume apaisant à l’égard de ma rondelle traumatisée...
Point de repos cependant, puisque mon visage était la cible de gros molards, que ma bouche faisait encore l’objet de roulages de pelle bien salaces, que mes tétons étaient sucés, mordillés et étirés à n’en plus finir et que mon clitoris turgescent était grossièrement tripoté et manipulé, ne faisant qu’accentuer mes pertes vaginales.
Lorsque mon mari réussit enfin à se vider les couilles pour la deuxième fois, on m’allongea délicatement sur le matelas, toute ruisselante, collante, puante et usagée que j’étais. J’avais littéralement l’impression d’être une vieille capote laissée à l’abandon.
Mon mari fut libéré dans la foulée et tous se douchèrent ensuite.
Je gisais là encore, mes orifices béants, après leur départ (Il était aux environs de 14 heures), paresseuse que j’étais à l’idée de me lever pour me nettoyer.
Alors que nous débriefions avec mon mari, je lui avouai que le viol avait en réalité été tout à fait prémédité... et consenti. Cela le rendit à nouveau tout triqueux !
Lorsque vint le soir et le moment de se coucher et d’éteindre les lumières, je repris comme souvent ma vie imaginaire. Et c’est peu dire que je me sentais fière de ce que j’avais à nouveau accompli. Dès lors, il convenait de se lancer dans l’élaboration d’un nouveau scénario...
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